Les modèles d’IA deviennent-ils de plus en plus « intelligents », comme le prétendent leurs concepteurs ? Des batteries de tests sont sans cesse inventées pour tenter d’évaluer leurs facultés. Mais leur prétendue « intelligence » et la manière de la mesurer font débat.
En mathématiques, le coloriage est un sujet de recherche depuis plus de deux siècles. Des scientifiques viennent de proposer un nouvel algorithme de coloration qui permettrait de résoudre nombre de problèmes du quotidien.
Bien que les humains tricotent depuis des milliers d’années, cette pratique reste encore très peu comprise d’un point de vue scientifique. Mais à mesure que son étude progresse, les scientifiques prennent conscience de son potentiel, au point de vouloir créer des jumeaux numériques de ces ouvrages.
Les tulipes bicolores tirent leur beauté d’un virus. Trois mathématiciens viennent de mettre en équations la compétition entre la propagation de ce virus et l’expression des gènes de pigmentation des pétales : leurs tulipes virtuelles sont des copies conformes aux réelles.
Un problème de physique plus que centenaire concernant la physique des fluides vient de connaître une avancée grâce à trois chercheurs. Pour comprendre cela, il faut commencer un voyage au cœur d’une tasse de café.
L’entreprise chinoise a créé la surprise en annonçant deux modèles d’intelligence artificielle dix fois moins consommateurs en électricité que leurs équivalents de mêmes performances. Ce n’est pourtant pas forcément une bonne nouvelle : un outil plus économe risque simplement d’être davantage utilisé.
Que ce soit un papyrus calciné, des débris de tablettes d’argile ou un manuscrit du Moyen Âge, les modèles d’IA parviennent à décrypter des écrits jusqu’alors illisibles. Une aide précieuse qui fournit la possibilité d’accéder à certains fragments de notre histoire encore jamais explorés.
L’intelligence artificielle est partout : dans nos vies, comme à l’Académie royale de Suède où elle a notamment obtenu le prix Nobel de physique. Mais les deux récipiendaires de ce prestigieux prix n’hésitent plus à exprimer leur inquiétude face à ces « boîtes noires » de plus en plus complexes.
Mathématiciens et amateurs s’échinent depuis des siècles à mieux comprendre ces étranges nombres qualifiés de premiers. Récemment, leurs efforts ont été récompensés par de nouvelles découvertes, qui pourraient avoir des applications dans le domaine de la cryptographie.